Le brutal exorcisme de DAMARIS
Donc lorsque mademoiselle arrive chez nous, c’est une petite starlette qu’on voit débarquer et elle se comporte comme tel !
Peu importe, on en a vu d’autres… donc comme elle est arrivée un peu tard … on se contente d’un petit shoot photo et on attaquera les choses sérieuses le lendemain.
Du coup, ça me permet de passer la soirée avec elle, et du coup de parler de la scène du lendemain et de ce qu’elle aimerait faire ! Elle me dit qu’elle aimerait bien faire un truc religieux, qu’elle a adoré le film l’exorciste .. qu’elle adorerait faire une scène dans ce genre là .
Il se trouve qu’à cette époque là on louait un grand entrepôt dans le sud de Barcelone, qu’on avait aménagé en “studio”, avec plusieurs plateaux de tournages dont un, qui représentait un petit coin de cimetière . Donc je lui dit que , ok , pas de problèmes , que de toute façon je suis ouvert à tout et encore plus aux trucs originaux et bien barrés. On se monte vite fait une petit histoire pour lancer la scène et nous allons nous coucher bien content. Bien content d’avoir une bonne scène à tourner le lendemain, mais aussi et surtout, heureux de voir que finalement, Damaris elle est plutôt cool quand même .
Avant la scène Damaris m’explique qu’elle aime quand c’est bien brutal. Voir carrément Hardcore. En fait elle me dit d’y aller carrément, tant que je peux, elle n’a pas de limite et plus c’est hard, mieux c’est pour elle ! BIEN BIEN !!
Le but c’était un peu de la ravager, de la défoncer, et c’est ce que j’ai fait, je m’en suis donné à coeur joie ! Jusqu’au moment où, j’étais en train de joyeusement la défoncer je vois notre plus gros gode par terre, je le ramasse, le donne à un assistant, pour qu’il aille le laver et me le rapporte, tout ça sans que Damaris s’en rende compte, quelques instant plus tard, Juan , l’assistant revient avec le gode propre, il me le donne, je retourne Damaris et m’apprête à le lui enfoncer dans la chatte, et elle m’arrête… me dis que non , que le gode était au sol qu’il est sale.
Je lui dis que non, qu’il est propre qu’il vient d’être lavé .
Elle me soutiens que non , qu’elle l’a bien vu il y a quelque minute il était au sol .et bla et bla et bla .
encore une fois , je lui explique … et non , elle s’énerve.
Pendant plus d’une heure toute l’équipe allaient de Damaris à moi , de moi à elle, essayant de nous raisonner… mais évidemment sur une scène aussi intense, les hormones, les nerfs, l’adrénaline, on est à fleur de peau, et …bon …
Après plus d’une heure de négociation l’assistant me dit qu’elle accepte de faire la fin de la scène, si c’est ok pour moi. J’accepte, je dis l’ejac , rien de plus , et je ne veux plus jamais ni la voir ni entendre parler d’elle.
Elle se met a genoux, je me mets devant elle, caméra, action , en une minute je bâcle l’ejac et Ciao …
Même si la fin du tournage aura été un peu difficile, il reste que c’est une des scènes les plus brutales, les plus exceptionnelles que je n’ai jamais tourné. Et Damaris …. on n’est pas resté fâché bien longtemps, elle est revenu nous voir, plusieurs fois, souvent, pendant dix ans, et nous avons appris à nous apprécier. Et à chaque fois que je travaille avec elle , le résultat est toujours exceptionnel, c’est une Grande , GRANDE actrice !
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